LE PRISME D’AMBRE

Le prisme d’ambre

Sur les hauteurs d’un plateau tibétain, où l’air semble abstenir le temps dans sa minceur, un monastère oublié reposait, en accord entre ciel et diamant. Ses murs fendillés portaient les cicatrices de l’abandon, mais l’aura du centre, intacte, subsistait à savoir une taux vibratoire retenue entre les avenues. C’est dans ce calme sus

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L’éclat couperosé

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Les quelques vitraux du monastère de l’aube

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La la première lumière

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